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ALICE VUE PAR MAXIME

Avant d’être attirée par les paysages alpin et la nature, Alice petite était plutôt branchée par les animaux terrestres et marins. Dès son plus jeune âge, grâce à une maison familiale sur l'île de beauté, elle passait le plus clair de son temps avec une épuisette à la main au milieu des rochers pour observer la vie aquatique. Une fois le seau rempli de poissons, crabes et crevettes, ceux-ci étaient relâchés et le lendemain elle remettait le couvert. Cette curiosité Alice l’a toujours, en observant la faune et la flore en montagne. 

Elle a aussi côtoyé durant huit ans les chevaux en pratiquant l’équitation. Ce qui ressort de cette pratique ce n’est pas forcément le côté sportif ou compétitif, mais sans doute la relation homme/animal. Comprendre la bête, prendre soin d’elle et construire une relation de confiance, où le mot patience prend tout son sens pour arriver à ne faire plus qu’un.

Discipline qu’elle ne pourra continuer lors de ses études supérieures, en intégrant l’école d’architecture de Grenoble. Après sa licence, elle s’oriente dans la spécialité « Architecture, paysage et montagne » qui la familiarisera encore plus avec l’environnement alpin et les grands espaces. Savoir travailler en harmonie avec la nature, respecter les éléments et avoir un impact le plus faible possible. Cinq années passées au carrefour des alpes à être entourés de montagne forgeront son caractère vers une vie de plus en plus simple et centrée sur la nature.
 
Toujours un œil tourné vers les sommets c’est lors d’un stage en agence d’architecture à Chamonix, que l’on commencera la pratique du trail running. Sport d’endurance où la montagne est le terrain de jeu et d’aventure de cette discipline qui demande de l’entrainement pour arriver à de beaux résultats. Alice est une habituée des podiums mais c’est avant tout les sensations d’évasions, le sentiment de solitude qu’elle retrouve en montagne qui fait qu’elle pratique cette discipline depuis 6 ans.


Le vélo n’est pas forcément son péché mignon mais elle se rendra vite compte des bénéfices de celui-ci lors de la traversée des alpes : contemplation des paysages à faible vitesse, impact carbone neutre, silence et bien sûr le sport toujours présent. Alors, oui parfois c’est dur, parfois ça fait mal aux fesses, mais la satisfaction d’atteindre un col et d’installer le bivouac au coucher du soleil n’a pas de prix, enfin si, celui de la liberté.

Cette liberté qu’Alice recherche désormais, à grande échelle au travers d’un projet à fort caractère qui allie sport, aventures et valeurs humaines humbles.

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